Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Collection - Adélaïde Gaudéchoux
il y avait une ville - Laeticia L'Heureux
Il était deux fois - Gary Colin
Oasis - Stéphane Ruchaud, Christophe Honoré
Rupture (fragments) - Benjamin Monti, Jean-Charles Andrieu de Levis
the Ghost of Weaving - Coll.
Deep state - Mathieu Desjardins
Illusive prosody - Alex Beaurain
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Aurore Colbert - Marie Mons
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Black Case Volume I and II: Return From Exile - Joseph Jarman
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup 









