Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Good Company - Paul Van der Eerden
Editer l’art – Leszek Brogowski
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Anderlecht — Molenbeek - Pierre Blondel
Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Illusive prosody - Alex Beaurain
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Baron - Richard Kern
Zoom Age - Julien Auregan
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Sillo n°3 - Le Fauve 









