Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Revue La Ronde n°14
Vanishing Workflows - Xavier Antin
L'atelier partagé avec Géraldine Trubert
Slanted 24 - Istanbul
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Betty Tompkins - Raw Material
Beatmap - Alex Besikian
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Holy Mountain - Païen
La construction - Perrine Le Querrec
Après la révolution – numéro 1
Critique d'art n°55
Zoom Age - Julien Auregan 









