Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
From red to red - Jean-Pierre Bertrand, Patrick Javault
SKKS - Gilles Pourtier
Gros Gris n°4 - Duel
Imagos - Noémie Lothe
Critique d'art n°56
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Slanted 24 - Istanbul
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Slanted 30 - Athens
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Du Fennec au Sahara - Guillaume Pinard
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Betty Tompkins - Raw Material
The Shelf - Journal 3
Saint Julien l'hospitalier Tome 2 - Claire Pedot 









