Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Dédale - Laurent Chardon
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Dark optics - David Claerbout
Pour voir, Emscher Park - Gaëtane Lamarche-Vadel
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Dessins pour Rugir - Virginie Rochetti 









