Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Future Book(s) Sharing Ideas on Books and (Art) Publishing - dir. Pia Pol, Astrid Vorstermans
Gruppen n°14 - Collectif
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
movement in squares - Stefanie Leinhos
AMONG THE TREES - LIVIA DE MAGISTRIS
Titties - Nour Hifaoui
Diario de Plantas (2 volumes) - Gabriel Orozco
Dernier royaume - Quentin Derouet
Les danseurs du Balajo - 2017-2018 - Carole Bellaïche
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
16 x 421 - Lorraine Druon
Citrus maxima xparadisi - coll.
ADBC du Dessin - Jacques Floret 









