— Il y a un moment où il faut sortir les couteaux.
C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre le très bref texte de Christiane Rochefort, Définition de l’opprimé.
Paru en 1971 en présentation du S.C.U.M. Manifesto de Valerie Solanas (première traduction française par Emmanuelle de Lesseps, éditions La nouvelle société, collection olympia), il a été supprimé de toutes les rééditions qui ont suivi, remplacé par des préfaces et postfaces moins heureuses, sans doute alors jugées plus actuelles par leurs différents éditeurs.
En 2021, avec l’aimable autorisation de l’ayant droit de Christiane Rochefort, les éditions les vilains publient pour la première fois ce texte pour lui-même, convaincues qu’il faut plus que jamais définir les mots que l’on emploie et espérant contribuer à faire vivre la puissance sobre et radicale de Christiane Rochefort.

Entrez sans sonnet - Julie Redon
Ilya Ehrenbourg - Et pourtant elle tourne
1994 - 2001 - Lorenzo Castore
Danses d'intérieur - Lotus Eddé Khouri
Marc's Souvenirs - Marc Hennes
Norovirus - Orgie en mers chaudes - Claude Grétillat
Bienvenue à Colomeri ! - Hécate Vergopoulo,
Tableaux fluo - 2013-2016 - Nina Childress
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
Theatre - Dan Graham
Deep state - Mathieu Desjardins
Vases Communicants - Hélène Drénou
Idoine & Antonin Giroud-Delorme
Catalogue Art Guys - That's painting productions, Bernard Brunon
Surface Tension - Tabitha Soren
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
本の本の本 - antoine lefebvre editions,
Les soleils qui tournent ont des oreilles - coll.
Sights - Henry McCausland 

