— Il y a un moment où il faut sortir les couteaux.
C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre le très bref texte de Christiane Rochefort, Définition de l’opprimé.
Paru en 1971 en présentation du S.C.U.M. Manifesto de Valerie Solanas (première traduction française par Emmanuelle de Lesseps, éditions La nouvelle société, collection olympia), il a été supprimé de toutes les rééditions qui ont suivi, remplacé par des préfaces et postfaces moins heureuses, sans doute alors jugées plus actuelles par leurs différents éditeurs.
En 2021, avec l’aimable autorisation de l’ayant droit de Christiane Rochefort, les éditions les vilains publient pour la première fois ce texte pour lui-même, convaincues qu’il faut plus que jamais définir les mots que l’on emploie et espérant contribuer à faire vivre la puissance sobre et radicale de Christiane Rochefort.

La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Holy etc. - Fabienne Radi
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Sébastien - Antoine Orand
Michael Riedel - Milan Ther
genital or genius - Paul
How Many - Nathalie Du Pasquier
L’île de Reil - Karine Portal
Sans titre - Benjamin Hartmann
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Green (or moles on a golf course) - Aslak Gurholt
Diario de Plantas (2 volumes) - Gabriel Orozco
Yerevan 1996/1997 - Ursula Schulz-Dornburg
Eros Negro # 1 - Demoniak
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz 

