— Il y a un moment où il faut sortir les couteaux.
C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre le très bref texte de Christiane Rochefort, Définition de l’opprimé.
Paru en 1971 en présentation du S.C.U.M. Manifesto de Valerie Solanas (première traduction française par Emmanuelle de Lesseps, éditions La nouvelle société, collection olympia), il a été supprimé de toutes les rééditions qui ont suivi, remplacé par des préfaces et postfaces moins heureuses, sans doute alors jugées plus actuelles par leurs différents éditeurs.
En 2021, avec l’aimable autorisation de l’ayant droit de Christiane Rochefort, les éditions les vilains publient pour la première fois ce texte pour lui-même, convaincues qu’il faut plus que jamais définir les mots que l’on emploie et espérant contribuer à faire vivre la puissance sobre et radicale de Christiane Rochefort.

Trous gris - Michel Vachey
Followers - Agnès Wyler
Heads Together – Weed and the Underground Press Syndicate - David Jacob Kramer
La Fête - Damien Tran
Strannberg – The Chauvinist Manifesto - Samuel Nyholm / Sany
Imagos - Noémie Lothe
Village - Julie Safirstein
In the presence of being absent... Arrgh. - Stéphanie Leinhos
Tempête après tempête - Rebekka Deubner
L'abécédaire d'un typographe - Gerrit Noordzij; Jost Hochuli
Strange Design - Ed. Jehanne Dautrey et Emanuele Quinz.
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
interférence - 2 - maycec
Détours - Vincent Chappuis
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Ce qu'est ce que - Gabriel Hibert
Perles & Fracas - Bill Noir
Stéréo couleurs - Atelier Bingo
Una Silla Plegada ( A Folded Chair) - José Quintanar
Le seuil - Quentin Yvelin
Chantonnements - Geoffroy Pithon
Humoral Fortuities - Francesco Albano’s
Dirty fish - Léa Abaroa
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz 

