Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Mökki n°4
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Saint Julien l'hospitalier Tome 3 - Claire Pedot
The life of Ruben - Bernardo Sousa Santos
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Les Climats II (Japon) - Lola Reboud, Mariko Takeuchi
Imagos - Noémie Lothe
In The Navy - Julien Kedryna
Slow Down Abstractions - Adrien Vescovi
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
MegaOctet Verbateam
akaBB - tribute to Roni horn
Poèmes - Yvonne Rainer
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington 







