Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
Délié - Baptiste Oberson
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Holy etc. - Fabienne Radi
Sights - Henry McCausland
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
Dédale - Laurent Chardon
L'inventaire des destructions - Éric Watier
Escape - Makiko Minowa
Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel
Génération dakou - Yann Jun + CD
Oblikvaj 4 - Last minute Shodo - Thomas Perrodin, Ensemble Batida
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Rois de la forêt - Alain Garlan
Un cheval, des silex - Benoît Maire, Sally Bonn
Mission Control - Emir Karyo & Jan Wojda
Trous gris - Michel Vachey
Oblikvaj 5 - Vingt-deux plongées profondes - Aude Barrio, Ensemble Batida
Lavalse des tambours - Paul Rey
Introduction à l'esthétique - Nakai Masakazu 







