Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Le corps travesti - Michel Journiac
Fluent - Laëticia Donval
Lucky Me - Eva Rotreklová & Jules Janssen
Editer l’art – Leszek Brogowski
interférence - 2 - maycec
Aurore Colbert - Marie Mons
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
Piotr - Pierre Escot, Denis Lavant
Le blanc nez - Fouss Daniel
Le seuil - Quentin Yvelin
Spécimen Typographique : No Ko - Loris Pernoux
Hors-sol - Fabrice Schneider
Le Gabion - Théo Robine-Langlois 







