Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Les voiles de Sainte-Marthe - Christian Rosset
Promenade au pays de l'écriture - Armando Petrucci
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Retour d'y voir - n° 1 & 2 - Mamco
Deep state - Mathieu Desjardins
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Ar(t)chitectures situées - Étienne Delprat
Bacon le Cannibale - Perrine Le Querrec
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Rois de la forêt - Alain Garlan 







