Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
Idoine & Sissy Hankshaw
People in a faraday cage - Stéphanie Gygax
A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Karbone Magazine n°8 - Parasite
Lavalse des tambours - Paul Rey
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Vera Icona, Abécédaire de l’image scène — Véronique Caye
Strates & Archipels - Pierre Merle
Gros Gris n°4 - Duel
Holyhood, vol. 1 — Guadalupe, California - Alessandro Mercuri
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York 







