Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Débris N°2 - Théo Garnier Greuez
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Flower finds - Orianne Jeanselme
Fluent - Laëticia Donval
Image Canoë - Jérémie Gindre
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Le vieux père - Laurent Kropf
Un cheval, des silex - Benoît Maire, Sally Bonn 







