Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Un peu comme voir dans la nuit - Leif Elggren + CD
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Rois de la forêt - Alain Garlan
Strates & Archipels - Pierre Merle
Sights - Henry McCausland
Good Company - Paul Van der Eerden
Gros Gris n°4 - Duel
Mökki n°2
L'inventaire des destructions - Éric Watier
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
The Shelf - Journal 3
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Marcel Proust en cinq minutes — Jackson B. Smith
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Poèmes - Yvonne Rainer 







