Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Berlin Design Digest
Imagos - Noémie Lothe
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Burning Images, A History of Effigy Protests - Florian Göttke
Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Denver Mosaic 1961 - René Heyvaert
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
Guten Tag - Pablo Tomek
Un essai sur la typographie - Eric Gill
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Comme si la nuit avait dévoré le Monde - Philippe Baudouin, Jean-Baptiste Carobolante
La nuit, tu mens - Ambre Husson
Sakae Osugi – Anarchiste japonais – Ville de St-Denis 1923 - Katja Stuke, Oliver Sieber
Fluent - Laëticia Donval
Dear Paul - Paul Van der Eerden
On-off Tones - Anna Bergquist
Email Diamant - Fabienne Radi 







