Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Mökki n°4
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
La traversée - Magali Brueder
Fournitures - Julien Gobled
Ice & Cream - Florence Grivel, Julien Burri
Deep state - Mathieu Desjardins
moj’am al arabeia - Farah Khelil & antoine lefebvre editions
Slanted 24 - Istanbul
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Jardín de mi padre - Luis Carlos Tovar
Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
Le vieux père - Laurent Kropf
Le déclin du professeur de tennis - Fabienne Radi 







