« Once upon a time in Hollywood » : il est rare de procéder à la « monographie » d’un bâtiment, surtout lorsqu’il situe à Los Angeles le Bradbury Building (1893), un monument historique inspiré de l’École de Chicago mais devenu, un siècle plus tard, l’icône « rétro-futuriste » de Blade Runner, la dystopie urbaine de Ridley Scott (1982)… Pourtant, l’appartement du généticien J. F. Sebastian où se réfugie Pris, la prostituée réplicante, est aussi l’adresse d’une séquence de Chinatown (1974) et de bien d’autres films noirs, clips de rap ou supports de pop culture. Une coupe s’immisce alors entre fiction et réalité, glissement urbain que ne renieraient ni Jean Baudrillard ni Quentin Tarantino : devant, mais aussi derrière la caméra…
80 pages.


Fluent - Laëticia Donval
Poster Tribune # 11
Critique d'art n°55
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Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon
Le 6b Saint-Denis, dans un tiers-lieu culturel
Anderlecht — Molenbeek - Pierre Blondel
Le corps travesti - Michel Journiac
Burning Images, A History of Effigy Protests - Florian Göttke
La mémoire de l’ordre. Les paradoxes du sens dans l’architecture moderne. - José Ignacio Linazasoro
(page 1 et 17) - Lorraine Druon
A book (untitled) - Maya Strobbe
Imagos - Noémie Lothe
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
People in a faraday cage - Stéphanie Gygax
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Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann 







