« Once upon a time in Hollywood » : il est rare de procéder à la « monographie » d’un bâtiment, surtout lorsqu’il situe à Los Angeles le Bradbury Building (1893), un monument historique inspiré de l’École de Chicago mais devenu, un siècle plus tard, l’icône « rétro-futuriste » de Blade Runner, la dystopie urbaine de Ridley Scott (1982)… Pourtant, l’appartement du généticien J. F. Sebastian où se réfugie Pris, la prostituée réplicante, est aussi l’adresse d’une séquence de Chinatown (1974) et de bien d’autres films noirs, clips de rap ou supports de pop culture. Une coupe s’immisce alors entre fiction et réalité, glissement urbain que ne renieraient ni Jean Baudrillard ni Quentin Tarantino : devant, mais aussi derrière la caméra…
80 pages.


Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier
Planète B - Gwenola Wagon
How Many - Nathalie Du Pasquier
Zboing zboing - Paul Descamps
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Oblikvaj 4 - Last minute Shodo - Thomas Perrodin, Ensemble Batida
La construction - Perrine Le Querrec
Birds - Damien Poulain
Joselito Verschaeve – If I call stones blue it is because blue is the precise word
Artzines # 10 - Show & Tell #2 NY Special
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz 







