Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Étrangement seuls - Jean-Pascal Princiaux
Pilote - Mathilde Sauzay
16 x 421 - Lorraine Druon
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
Véhicule N°7 - Collectif
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Erlebnispark - Paul & Carla
Ludmilla Cerveny - Work
ARTZINES #7 - Berlin issue
Join my patreon - Jooyoung Kim
Acteurs d'un film gravé. Docteur A. Infirmier O. - Annabelle Dupret, Olivier Deprez et Adolpho Avril
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Dessins pour Rugir - Virginie Rochetti
interférence - 3 - maycec
Auprès, au sein — Julien Van Anholt 