Nous avons, pendant notre semaine de résidence sur place, réalisé une installation comprenant une peinture murale, des suspensions de draps sérigraphiés et un élément central proche de la sculpture.
L’idée était de questionner la figure du fantôme comme métaphore de l’humain dépossédé.
L’édition du même nom pensée et imprimée elle aussi à la Fanzinothèque comprend un texte fictif dont l’installation se fait l’écho.

I am a ghost, we all are.
This is what defined us best.
We are these figures with desperate gestures,
with lost consistency.
We have been dispossessed
of our individualities, of our desires, of our will,
of our bodies.
We are these shapes without contours, diffuse.
We float without interest,
but, it seems to us, with reason.
We are these voices without mouths,

Dédale - Laurent Chardon
Intérieurs - Claude-Hubert Tatot
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
Parallélisme - Nicolas Nadé
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Heads Together – Weed and the Underground Press Syndicate - David Jacob Kramer
Regards croisés — Gekreutze Blicke - Yeloyolo
Le chateau enchanté - Atelier Mclane 













